Santiago
28/03/13 Santiago
Santiago et les bruits de la ville
Santiago et les cloches des églises
Santiago et les rires de la jeunesse
Santiago et les cris des mouettes, bien différents des miaulements des goélands de Fisterra.
De jeunes allemands, un peu trop bruyants et sans-gêne hier soir, se sont faits "réprimandés" par le gardien. Dès le matin vers 6h, ils préparent leurs sacs avec un manque évident de discrétion.
Pour une fois, il ne pleut pas et nous pouvons repartir à la découverte de nouvelles rues.
Puis, un petit tour au marché couvert.
Chaque pavillon a sa destination comme aux halles.
Celui des pescados y mariscos est particulièrement bien achalandé. Comme dirait Honorine la poissonnière, " on croirait qu'ils vont vous parler". Bien sûr, les pulpos trônent au premier plan. A midi, nous y repasserons, pour acheter un pique-nique de saucissonnailles.
Un dernier petit tour avant de récupérer nos sacs-à-dos et ensuite c'est le départ vers la Praza de Galicia où nous prendrons le bus de l'aéroport. En l'attendant, une femme sous un parapluie rouge nous aborde: C'est l'hospitalèra française de La Faba (où nous étions le 17 mars) qui nous a reconnus. Elle aussi rentre en France.
Une fois la Panda de location récupérée, nous faisons une dizaine de kilomètres pour dormir à O'Pedruso dans cette albergue si sympathique; mais à notre grande surprise, celle-ci est quasiment pleine.
Le propriétaire très heureux de notre retour nous trouvera quand même trois lits. Dans celui d'en face, il y a une Norvégienne et sa fille. Si l'on ajoute les Portugais de ce matin, cela fait un total de 18 nationalités rencontrées au cours de notre périple.
Notre retour en Dordogne au cours de la journée du 29 mars se fera constamment sous la pluie que ce soit en Espagne ou en France.
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